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L'antre de l'ego
L'antre de l'égo est un espace où nos masques se croisent, se superposent et s’entremêlent, révélant la complexité de notre âme. Inspirée du travail du sociologue Erving Goffman, cette scénographie explore comment nous jouons des rôles dans la vie quotidienne, en portant des masques symboliques pour répondre aux attentes de celleux qui nous entourent (i.e. la présentation de soi).
Dans La mise en scène de la vie quotidienne Goffman (1973), expose la théorie que nos interactions sociales sont semblables à une performance théâtrale. Dans cette "mise en scène", chacun.e de nous revêt un masque, une façade ajustée en fonction du contexte, des spectateur.ice.s et des attentes sociales. Mais qu’advient-il lorsque ces masques se multiplient, s’effritent, ou se confondent ?
Dans La mise en scène de la vie quotidienne Goffman (1973), expose la théorie que nos interactions sociales sont semblables à une performance théâtrale. Dans cette "mise en scène", chacun.e de nous revêt un masque, une façade ajustée en fonction du contexte, des spectateur.ice.s et des attentes sociales. Mais qu’advient-il lorsque ces masques se multiplient, s’effritent, ou se confondent ?
L'antre de l’égo nous invite à plonger dans cet espace où l’identité se déconstruit et se recompose, un lieu où les masques ne sont pas de simples objets mais des tentatives de contrôler, de manipuler, la manière dont nous sommes perçus.
En franchissant la façade extérieure, presque parfaite, polie et superficielle, nous entrons dans une illusion qui se dissipe peu à peu. Cette surface lisse se dégrade pour dévoiler les fragments plus crus de l'être, des aspects de notre humanité que nous avons tendance à dissimuler. Les masques se font moins lisses, moins contrôlés, révélant les imperfections, les failles, les signes de notre vulnérabilité cachée, nos cicatrices, notre histoire… celle qui se construit pas à pas.
“ Les masques sont des expressions figées et d’admirables échos du sentiment, à la fois fidèles, discrets, et plus vrais que nature.” Santayana (1922).
En franchissant la façade extérieure, presque parfaite, polie et superficielle, nous entrons dans une illusion qui se dissipe peu à peu. Cette surface lisse se dégrade pour dévoiler les fragments plus crus de l'être, des aspects de notre humanité que nous avons tendance à dissimuler. Les masques se font moins lisses, moins contrôlés, révélant les imperfections, les failles, les signes de notre vulnérabilité cachée, nos cicatrices, notre histoire… celle qui se construit pas à pas.
“ Les masques sont des expressions figées et d’admirables échos du sentiment, à la fois fidèles, discrets, et plus vrais que nature.” Santayana (1922).


Chaque masque est une clé vers un monde intérieur caché. Notre progression dans L'antre de l’égo nous confronte à la tension entre ce que nous montrons, ce que nous voulons être et ce que nous sommes. Mais qui sommes-nous? Les masques deviennent plus troublants, évoquant la complexité de l’identité et la quête du soi dans un monde de plus en plus déconnecté de son moi intérieur. Dans cet espace intime, l’égo symbolise les désirs refoulés, les peurs inavouées, et cette vulnérabilité que nous préférons souvent dissimuler par peur du jugement.
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